Enfin du sport !
Après une journée relativement tranquille, avec une magnifique tarte en dessert à midi (une tarte, oui, mais au kiwi !), il était enfin 17h45, soit l'heure d'aller faire du bad ! Hé oui, enfin, j'ai pu faire un peu de sport cette semaine ! Ca fait du bien !
Surtout qu'on avait réservé pour 18h à 19h, mais comme il y avait de la place après, on en a profité pour prolonger, jusqu'à pas loin de 20h. Et y avait même des terrains en rab, donc on a pu faire des simples. Parce qu'on était quatre, et que le double, c'est bien, mais pour courir et se défouler, le simple, c'est quand même mieux !
Finalement, on a fait un double en 3 sets gagnants, et on a donc pu faire des simples après : un premier en un seul set, parce qu'y avait du monde qui arrivait pour jouer, donc on a fini le set et on leur a laissé la place. Mais comme il restait des terrains libres, on a continué. En enchaînant sur deux autres matchs en 2 sets gagnants.
Et comme celui qui perdait 15-0 payait sa tournée, j'en ai profité ! On a donc fini dans un bar pas loin du gymnase (oui, parce que au club, y a que de la bière sans alcool. en même temps, ça m'étonne pas : ça reste un club de sport, tout de même !) Petit bar sympa, rien d'excpetionnel. Trois bière, un coca (devinez pour qui ?). Et les verres vidés, retour à la maison.
Rentré à 21h, donc, un peu claqué, mais si on peut recommencer ça, comptez sur moi ! Par contre, mon disque dur a pas retrouvé la santé : toujours des bruits bizarres... et quand je le mets en slave pour essayer de récupérer les données, je crois pas qu'il soit détecté. Mais de toute façon, le PC reste sur l'écran de chargement de windobe, avec les trois petits rectangles violets qui défilent de gauche à droite. Ca doit bien faire 20 minutes qu'il est bloqué là, quand même ! Mais bon, au moins il n'est pas figé, et ah, tiens ? le disque a arrêté de faire ses bruits... se serait-il auto-réparé, ou son agonie s'est-elle achevée dans un bain d'hémoglobine de circuits imprimés, mettant par là même un terme à mon espoir, vain peut-être, mais néanmoins toujours présent, flottant sur la marée de mes pensées, coulant parfois, mais refaisant toujours surface, mon espoir de pouvoir retrouver les précieux documents cachés au fin fond de la gravure du disque décédé de vieillesse qui dominait l'intérieur de ma tour du haut de sa date de garantie expirant en octobre 2001, qui dominait le royaume électronique du haut de sa sagesse infinie, gardien des plus anciennes données numériques, incrustées dans son corps telles les rides d'une vie heureuse qui se prolonge toujours plus, jusqu'à se fatiguer de lutter contre le temps, ennemi intemporel, plus tenace et vicieux que n'importe quel prédateur, aussi inéluctable que le top d'horloge d'un processeur bien réglé, jusqu'à se fatiguer et abandonner une lutte perdue d'avance, jusqu'à réaliser que perdre cette bataille n'est pas une défaite, mais un renouveau ?
Sur ce, je vais le rebooter...
Surtout qu'on avait réservé pour 18h à 19h, mais comme il y avait de la place après, on en a profité pour prolonger, jusqu'à pas loin de 20h. Et y avait même des terrains en rab, donc on a pu faire des simples. Parce qu'on était quatre, et que le double, c'est bien, mais pour courir et se défouler, le simple, c'est quand même mieux !
Finalement, on a fait un double en 3 sets gagnants, et on a donc pu faire des simples après : un premier en un seul set, parce qu'y avait du monde qui arrivait pour jouer, donc on a fini le set et on leur a laissé la place. Mais comme il restait des terrains libres, on a continué. En enchaînant sur deux autres matchs en 2 sets gagnants.
Et comme celui qui perdait 15-0 payait sa tournée, j'en ai profité ! On a donc fini dans un bar pas loin du gymnase (oui, parce que au club, y a que de la bière sans alcool. en même temps, ça m'étonne pas : ça reste un club de sport, tout de même !) Petit bar sympa, rien d'excpetionnel. Trois bière, un coca (devinez pour qui ?). Et les verres vidés, retour à la maison.
Rentré à 21h, donc, un peu claqué, mais si on peut recommencer ça, comptez sur moi ! Par contre, mon disque dur a pas retrouvé la santé : toujours des bruits bizarres... et quand je le mets en slave pour essayer de récupérer les données, je crois pas qu'il soit détecté. Mais de toute façon, le PC reste sur l'écran de chargement de windobe, avec les trois petits rectangles violets qui défilent de gauche à droite. Ca doit bien faire 20 minutes qu'il est bloqué là, quand même ! Mais bon, au moins il n'est pas figé, et ah, tiens ? le disque a arrêté de faire ses bruits... se serait-il auto-réparé, ou son agonie s'est-elle achevée dans un bain d'hémoglobine de circuits imprimés, mettant par là même un terme à mon espoir, vain peut-être, mais néanmoins toujours présent, flottant sur la marée de mes pensées, coulant parfois, mais refaisant toujours surface, mon espoir de pouvoir retrouver les précieux documents cachés au fin fond de la gravure du disque décédé de vieillesse qui dominait l'intérieur de ma tour du haut de sa date de garantie expirant en octobre 2001, qui dominait le royaume électronique du haut de sa sagesse infinie, gardien des plus anciennes données numériques, incrustées dans son corps telles les rides d'une vie heureuse qui se prolonge toujours plus, jusqu'à se fatiguer de lutter contre le temps, ennemi intemporel, plus tenace et vicieux que n'importe quel prédateur, aussi inéluctable que le top d'horloge d'un processeur bien réglé, jusqu'à se fatiguer et abandonner une lutte perdue d'avance, jusqu'à réaliser que perdre cette bataille n'est pas une défaite, mais un renouveau ?
Sur ce, je vais le rebooter...